From Astrakhan to Atyrau it was boring : only straight roads like this and petrol fields
D’Astrakhan a Atyrau la route est un peu ennuyeuse : que des lignes droites et des champs de petrole.
There is a lot of gas and oil in this area, this will become “the new middle east”. Today this is what Atyrau looks like from the window of our kitchen.
Il y a beaucoup de petrole et de gaz dans la region, elle va devenir “le nouveau moyen orient”. Pour l’instant voila la vue aue nous avons depuis la cuisine.
From Atyrau to Beyneu the road was more and less the same. Still a bit boring. Leaving Beyneu we knew there was no petrol station for approximately 500 kms. So we filled water bottles with fuel before leaving.
La route d’Atyrau a Beyneu est a peu de choses pres la meme que precedemment. Toujours assez ennuyeux, donc. En quittant Beyneu nous savions que la station service suivante etait a environ 500 kms. Nous avons donc fait des reserves d’essence avant de partir.
Do you know the E40? It is the longest european road. It begins in Calais in France and ends in Ridder in Kazakhstan. And at the exit of Beyneu it looks like this :
Connaissez-vous la E40? C’est la plus longue route europeenne. Elle commence a Calais et s’arrete a Ridder au Kazakhstan. A la sortie de Beyneu elle ressemble a ca :
The road was so bad that Radek’s KTM suddenly decided to stop. We identified that the contacts of the fuel pump were too worn.
La route etait si mauvaise que la KTM de Radek a decide de s’arreter. Les contacts de la pompe a essence sont trop uses pour faire tourner cette derniere.
While men are looking for a solution not to stay in the desert, Laure takes a nap in the bike shade.
Alors que les hommes cherchent une solution pour ne pas secher en plein desert, Laure fait la sieste a l’ombre de la moto
Then we go on, still 250 kms before Kungrad.
Puis nous continuons, encore 250 kms avant Kungrad.
Sunset before Kungrad
Le coucher de soleil avant Kungrad.
Laure at the guest house in Kungras where we were very happy to stay after this desert experience.
Laure a l’hotel a Kungrad ou nous etions tres heureux de rester apres cette experience dans le desert.
Kungrad is not far from Moynaq, where was the shore of the Aral sea, so we went there to see the consequence of this ecological disaster.
Kungrad est proche de Moynaq, au bord de l’ex mer d’Aral. Nous sommes alles voir les consequences de cette catastrophe ecologique.
Yes, the sea was here before…
Et oui, la mer etait ici avant…
After Moynaq we went back to Kungrad to take money and find fuel for the bike. In the bank where we went we have been told that there was no possibility for us to take money here, that we needed to go to Nukus. We were able to change some Kazakh Tenge for Uzbek sum at the black market.
Apres Moynaq nous sommes retournés à Kungrad pour retirer de l’argent et faire le plein. A la banque on nous a dit que nous ne pouvions pas retirer de l’argent ici, que nous devions aller à Nukus. Nous avons juste pu changer des Tenge Kazakh en Sum ouzbèques.
The same problem appears to take fuel. All the fuel stations were closed in Kungrad. The message was the same as at the bank : go to Nukus. We managed to buy some liters of fuel in plastic bottles and left to Nukus.
Le même problème est apparu pour faire le plein. Toutes les stations de Kungrad étaient fermées. Ici aussi le message était : allez à Nukus. Nous avons pu acheter quelques litres d’essence de contrebande en bidons de 5 litres et sommes partis pour Nukus.
In Nukus, same scenario :
– at the bank : “no, you can not have money here with your plastic card”
– in the fuel stations : “no, we have no fuel”
So we bought again some liters of fuel from plastic bottles with our last sum and went to Beiruni. The most difficult was that no one seems ready to help us, or just explain us what was going on with the banks and fuel.
A Nukus, même scénario :
– à la banque : “non, vous ne pouvez pas retirer d’argent ici avec votre carte”
– dans les stations services : “non, il n’y a plus d’essence”
Nous avons racheté quelques litres d’essence de contrebande dans des bouteilles d’eau et sommes partis pour Beiruni. Le plus difficile était que personne n’était disposé à nous aider ou au moins à nous expliquer quel était le problème avec les banques et les stations-service.
In Beiruni, same scenario at the bank and no fuel. At this time we didn’t have anymore water nor fuel and only 2 euros in sum.
A Beiruni, même scénario à la banque et pas d’essence. A ce moment nous n’avions plus d’eau, plus d’essence et seulement deux euros en sum.
We found someone who managed to explain us that there is only two banks in Uzbekistan where we can obtain money with our cards. The closest was in Urgench. So we went to Urgench.
Nous avons fini par trouver quelqu’un qui nous a expliqué qu’il n’y a que deux banques en Ouzbékistan dans lesquelles nous pouvons retirer de l’argent avec nos cartes. La plus proche était à Urgench. Alors nous sommes partis à Urgench.
In Urgench we found the Asaka bank. Obtaining some money here has been a real adventure : 3h30 to have 1000 USD then 1H30 to have 500 USD changed at the black market with the bank employee.
A Urgench nous avons trouvé la banque Asaka, réussir à y retirer de l’argent a été toute une aventure : 3h30 pour obtenir 1000 USD, puis 1h30 avec l’employé de la banque au marché noir pour en changer 500 en sum.
On the right, 500 USD, on the left the same amount converted in sum.
A droite, 500 USD, à gauche le même montant converti en sum.
You will read the story of our Uzbek adventures soon!
La suite de nos aventures ouzbekes dans le prochain numero!
Hou là là ! Quelles galères ! Bravo pour en être sortis, pas évident !
Bises
Vous allez devenir les rois et reines de la débrouille!